Dimanche matin 8 heures, nous sommes 10 à nous retrouver devant l'église pour faire ou refaire, le parcours des 55km de la Verte. L'objectif est de vérifier qu'il ne reste ni flèche, ni rubalise et accessoirement de pouvoir profiter du parcours à notre tour. Olivier a apporté avec lui deux bombes de peinture noire afin de recouvrir les marquages au sol sur Ballancourt qui nous avait demandé qu'ils soient effacés. Nous démarrons donc notre périple par une scéance de peinture, estimant qu'il vaut mieux le faire avant qu'il n'y aie trop de circulation. Nous voici ensuite enfin partis par le chemin du grillage qui est devenu un vrai boulevard depuis notre copieux défrichage d'aout. J'avais un peu peur que la végétation, surtout les ronces, soit repartie à l'assault du chemin vu le temps qu'il a fait fin aout. Mais en fait cela n'a pas bougé, plus le passage des 662 participants de la semaine dernière, tout ce qui à voulu montrer le bout de son nez a dû le rabattre. Cela faisait en tout cas une bonne année que nous n'avions pas roulé en soulevant de la poussière. A la sortie du grillage, ça y est nous sommes chauds, petite scéance de déshabillage avant de poursuivre, Thierry est un peu à cours de forme, ça va être dur pour lui. Arrivé en bas du cul d'enfer tout le monde est entier. Mais Jean-Marc est crevé à l'arrière, il a presque le temps de changer avant que Francis finisse la descente. Nous suggérons à ce dernier qu'il change la dernière pièce de son vélo qui ne l'aie encore jamais été, j'ai nommé le cadre. Avec une petite suspat à l'arrière, il soulagerait son dos et son séant et passerai beaucoup mieux dans de tels passages. Nous reprenons donc le cours de notre périple. Arrivé au niveau de la Justice nous prenons le GR au lieu du petit sentier en dévers emprunté lors de la Verte. Ce sentier était privé et nous n'avons plus le droit de l'emprunter. Je suis allé poser des pancartes à l'entrée et la sortie la veille pour le signifier. J'ai également obturé le passage avec tout ce que j'ai pu trouver d'arbres morts et quelques broussailles comme me l'a demandé un des propriétaires. Je vous remrcie donc de ne plus l'emprunter comme nous nous y sommes engagés. Nous mettons un petit coup de bombe noire à la sortie du single pour faire disparaître complètement la trace de notre passage et reprenons la suite de la sortie en direction de Videlles. Aux Roches, petite erreur de parcours la semaine dernière, mais ce n'est pas grave cela revenait au même. Descente sur Videlle, puis remontée, puis passage auprès de la carrière ou l'un des concurrents est malheureusement tombé. 2e erreur de flèchage, il est vrai qu'il n'était pas facile à trouver le passage prévu. Ce n'est pas grave, il sera au menu d'une prochaine année. Redescente sur Videlle, tout ça pour repasser à 10 m de l'aller. Y'en a vraiment qui cherchent les complications. Passage en labour, pas le moment de mettre la charrue avant les boeufs. Puis montée chez les lavandières, j'ai quand même du mal à croire qu'elle lavaient le linge en haut ! Francis nous annonce 22% de déclivité au milieu de la pente. Arrivés en haut nous ne sommes plus chauds, mais bouillants ! En bas de Valfairolle, nous faisons le tour du Beaurepaire. Un repère de côtes oui. Dans la descente il y a un pot de peinture enfoncé dans le sol. Les premiers donnent de la voie, si bien que tous évitent la chute. Je ne sais pas quel est le gros malin qui a fait ça, mais si on le trouve c'est sur la tête qu'il le prendra le pot ! Nous rejoignons ensuite le gite de Launay. Nous retrouvons là, la seule pancarte oubliée lors du débalisage. Thierry coupe pour rentrer plus directement sur Ballancourt. Il manque un peu d'entraînement. Ca ira mieux les prochaines fois. A suivre... 













Date de création : 19/09/2007 : 07:21
Dernière modification : 06/07/2008 : 23:09
Catégorie : 9-Archives 2007
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