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"Alors je vais vous passer la ptite phrase:alors ce matin une trentaine de vttistes au pied de l'eglise mais plutot la remplacer par Sous ce grand soleil de ce mois de fevrier un groupe d'hommes rouges discute longuement au pied d'un clocher ballancourtois...quand soudain un homme cria soudainement apres les 9 coups de 9heures(normal quoi...)c'est l'heure il faut y aller cessation de bavardages et montons sur nos vaillants destrier.Ce groupe d'homme rouge chevauche alors dans la foulée leur betes de toutes races(decath,go sport,lp,giant,...)et se dirrige dans un nuage de poussiere vers le lac de toutes les terreurs qui dechainent les foules au village:le lac du bouchet!!!Nous traversons donc sur ce petit chemin escarpés et nous retrouvons sur un chemin longeant la riviere source de foisons et terroir de notre regions.(je sais pu tro ce que je dit la...)ensuite nous ratrapons une voie montante parsemees de plaques de verglas ou les fers de nos destriers ont du mal a trouver adherence..nous remontons sur la foret du village voisin des grand hommes verts celui que nous surnommons vert le grand.Et a ce moment la notre chef de groupe semble douter de l'eficacité de 30 destriers,etant donner notre depart a 9 cloches tapantes notre pelotons n'a pas pu former des groupes de cavaleries et alors nous formons 3 groupes,un constitueux de la cavalerie des mousquetaires(il me semble qu'ils etainet 5)un autre de la cavalerie des vaillants et le troisieme celle des...je sais pas encore.Notre cavalerie de vaillant se dirige donc sur un single track ou nos vaillantes montures prennent plaisir a slalomer entre les ronces et les gros trous d'eau.Ensuite nous nous dirigeons vers une destination principale:cheptainville,nous empruntons alors des chemins et des voies a vive allure,nos montures ont les oreilles dans le vent et ils aiment sa,ensuite nous traversons le village de leudeville et alors la la compagnie des vaillant semblent disloqué nous atendons alors le reste de la troupe.Ensuite nous roulons...euh non gallopons alors toujours a vive allure etant donnée le denivelé 0 du terrain... Ensuite nous ratrapons la foret de saint vrain si mes souvenirs sont bons et nous amusons dans les grand fossés appelés trous!!Une bete semble alors soufrir de ces fers nous nous arretons et soignons le mal...Nous suivons vers bouray sur juine et sommes acclamées par la foule en delire...(j'exagere un peu la...c'est mon cote marseillais qui ressort)nous passons sous la voie de chemins de fer pour nous diriger vers du denivlé positif(ah enfin)dans cette mignonne foret de bouray.Nous croisons alors le troisieme groupe (j'ai toujours pas trouver de noms...)qui semble avoir un de leur cavalier amoché...sa monture aurait refuser un obstacle et les etriers automatiques ont eu raison de sa cuisse gauche,mais le soldat est courageux et veut remonter sur sa monture coute que coute alors a ce moment nos deux j.f accompagnent alors notre soldat en direction de la cloche ballancourtoise mais sa douleur le fera renoncer plus bas.Pour ce qui est des vaillants ils continuent dans cette belle foret de bouray et prennent alors une magnifique descente ou leurs montures semblent alors decoller!!que du plaisir!!Ensuite nous retournons en direction de bouray et la nous voyons la medecine porter secour au cavaliers luc qui sera diriger vers un complexe medicinal evolué.Et la jai un gros trous de memoire(alhzeimer a 17 ans chui mal foutu!!)mais me rapelle d'un passage boueux ou le cavalier aurelien semble en dificulté et voula gouter aux ronces regionales(pas bon gout d'apres lui).Nous retraversons alors st vrain par la voie pavée et nous amusons a foncer a vive allure.Nous passons devant la grenouille et rentrons sur le clocher de Ballancourt par le domaine d'iteville,toujours sur la voie pavée derriere le bouchet nos montures s'enflament alors et commence a faire la course,malgre le gout amers des ronces le destrier aurelien titille alors ....(encore trou de memoir..ah gro bleme la)et me sentant en forme je m'elance et les depasse avec plaisir ,une centaine de gallopées plus loin je me tourne et voit cavalier fred titillé mon fer quache et la je donne toutes la gouache qu'il me reste,fred geule moi sa me tire dans les guibolles et jarrive a rester devant(sa fait plaiz!!)nous traversons alors la voie ferrée passons devant la gare pour ma part se sera demi-tour pour rentrer a l'etable et reposer ma monture et le reste de la troupe se dirige vers le clocher."
Julien